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Jik se rassit. D’un coup, des couvert en bronze se matérialisèrent devant nous ! Et au centre de la table, des marmites, des plateaux, etc. en platine et bien garnis apparurent ! Il ne touchaient même pas la table ! Ils tournaient devant nous pour qu’on se serve. Alors, Marie se leva et nous dit :

« Vous pouvez manger. Bonne appétit ! » 

« Merci ! A vous aussi !, répondit un brouhaha impossible.

Nous nous mîmes a manger. C’était délicieux! Même pour moi qui suis très difficile ! Quand nous eûmes finis le repas, Alizée se leva et nous dit sèchement:

« Le repas est terminé ! Vous pouvez rejoindre vos appartements ! » 

Comme on ne bougeait pas car on était tous surpris, elle dit :

« Allez ! Allez ! Dépéchez-vous ! »

En sortant, Fleck et moi, nous demandâmes à un garçon qui parlait en français avec un autre :

« Elle a toujours parlé aussi méchamment ? »

« Non ! Jamais ! Même moi qui suis là depuis quelques années, je ne l’ai jamais entendu parler comme ça ! Après, elle n’a jamais était très gentille ! Mais c’est vrai que ces derniers temps, elle reste tout le temps dans son appartement… »

« Ok… »

Quand nous fûmes dans nos marches, Fleck me dit :

« Je trouve ça assez bizarre… Je sais pas toi, mais moi, je lis beaucoup de romans policiers et j’aime bien les aventure… »

« Je suis comme toi ! On pourrait essayer de l’espionner pour savoir ce qu’elle mijote !

« Si elle trame quelque chose ! Et en plus, on ne sais même pas où est son appartement ! »

« Bon. Là, tout le monde peux nous entendre ! Comme on est voisine, on pourrait s’inviter chacune notre tour pour y réfléchir ! »

« Bonne idée !… Mais on va chez qui en premier ? Moi, comme je suis arrivée il y a quelques jours, ma chambre est en bazar ! Donc ce serait peut-être mieux qu’on ailles chez toi ! »

« Si tu veux ! Moi je suis arrivée aujourd’hui ! »

Nous arrivâmes devant ma chambre. Je sortis la clef et la serrure de ma poche. Alors, je collais la serrure sur la porte, tournais la clé à l’intérieur et ouvrais la porte. Nous descendîmes de nos marches. Celles-ci montèrent au plafond et nous entrâmes dans ma chambre. La porte se ferma derrière nous. Alors on s’assit sur le tapis de la pièce principale sur lequel je mis des coussins. Fleck me dit :

« Tu as presque la même chambre que moi sauf que ce n’est pas les mêmes couleurs. »

« Ah oui ? »

« Ouais ! Je pense que se serait mieux d’aller espionner de nuit. »

« Oui, mais comme tu as dit, nous ne savons pas où est sa chambre! »

« Là par contre, je ne sais pas comment faire… »

« Je sais ! Sur nos montres, il y a le plan de la vallée ! Après, nous n’avons plus qu’à demander : appartement Alizée, et on l’a ! »

« Peut-être ! »

Fleck regardait déjà sur sa montre. Alors, a voix haute, elle dit : « appartement d’Alizée » . Une voix aigüe répondit :

« Cette_ recherche_ n’est_ pas_ possible_ depuis_ quatre_ jours_. Mais_ cet_ appart_-tement_ figure_ toujours_ sur_ la_ carte_ car_ il_ est_ impossible_ d’enlever_ un_ appartement_ si_ il_ existe_ toujours_. »

« Dans les romans policiers pour les enfants on trouve du premier coup ! Par contre, quand c’est dans la vraie vie, c’est plus dur ! Sinon c’est pas drôle ! »

« Oui, mais on a un indice : c’est qu’elle veut se cacher et sa correspond a ce que nous a dit le garçon à la réunion ! Car elle est devenu bizarre depuis une semaine ! »

« Et ben, maintenant, on a plus qu’a chercher son appart’ sur notre montre chacune de notre côté ! »

« Oui ! »

Alors, Fleck sortit, appela sa marche et entra dans la chambre en face de la mienne. Je regardais sur ma montre quand mon horloge fit un petit « ding« . Il était 00h ! Déjà ! Je n’arrivais pas a dormir ! Après ce qu’il m’était arriver pendant la journée, c’était assez difficile ! Alors, je sortis discrètement de ma chambre et montait dans ma marche. En sortant du couloir, je vis une silhouette de femme se diriger vers le couloir « Privé« . Je ne connaissait pas cette plante! Quand la dame ouvrit la porte, je passait derrière elle pour entrer dans le couloir. Ce qui était bien, c’est que je pouvait me rendre invisible tant que j’étais dans ma marche. Elle ouvrit la porte de la chambre n° 17. Quand elle se retourna pour fermer la porte de sa chambre – si c’était bien la sienne – je vis son visage…


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